Les Parcevaux furent maintenus noble d’extraction en Bretagne, par arrêt du 12 avril 1669, signé par Cluvier. Les archives de Saint-Anne à Guingamp, conservées par nos cousins Villeneuve, descendants de la branche aînée des Parcevaux par les Sonis, contiennent une copie de l’extrait des « Registres de la Chambre establye par le Roy pour la Réformation de la Noblesse du Pays esveché de Bretagne » qui déclare « Louis Vincent Joseph Robert, Guillaume, René, et Gabriel de Parcevaux nobles et issus d’ancienne extraction noble et comme tels leur a permis et a leurs descendants en mariage legitime de prendre la qualité d’ecuyer et les a maintenus aux droits d’avoir armes, ecussons, timbre appartenants à leur qualités et à jouir de tous les droits, franchises, exemptions et immunités, preminances, privilèges attribués aux nobles de cette province, ordonne que leurs noms seront employés aux rolles et catalogues des nobles de la juridiction royalle de Lesneven. » Cette copie fut faite le 2 mars 1767 par Vincent Hyacinthe chef de nom et d’armes de Marigo écuyer seigneur de Keramel, aîné de la maison de Parcevaux par représentation d’Agnès de Parcevaux sa mère, fille aînée de Vincent de Parcevaux, pour Claude-Marie de Parcevaux chef d’escadre des armées navales du Roy. Elle est certifiée par Pierre Louis Le Gac de Lansalut écuyer sieur de Kerhervé, conseiller du Roy, son sénéchal, et premier magistrat civil, criminel et de police au siège royal de Châteaulin, évêché de Quimper, qui signe et appose son sceau sur la dernière page. Ce document articule la généalogie de la branche de Keranméar, en mentionnant les actes ayant servis de preuves, depuis Prigent de Parcevaux auteur de cette branche, fils d’Yvon de Parcevaux seigneur de Mésarnou.
Le texte intégral de cet arrêt est maintenant publié sur ce site pour les membres de l’Association (en mode privé)…